Wanna lotta love...

J'écris, j'écris pas ?
J'ai une petite flemme. Pourtant j'en aurais des choses à dire avec mon sympathique voyage dans la capitale (avec le concert qui va avec)...
Dans le dernier article les vacances débutaient (officiellement, je me sentais en vacances depuis plusieurs jours déjà) et maintenant elles se finissent.

Way down inside, woman, you need loveee...

Un petit goût de Led Zeppelin n'est-ce pas ? Allez savoir pourquoi...

Surement parce que c'est un de mes groupes favoris, et que ces paroles et la musique de Whole Lotta Love sont d'une efficacité jouissive. Ca tronçonne sec et bien comme dirait quelqu'un. Whole Lotta Love commence dans les jambes pour remonter dans le sexe, les hormones, le bassin, le rock, la musique. Une energie sexuelle. J'aime la même impression en écoutant du bon funk et j'ai du mal à ne pas rester stoïque.

Et le 7 avril à Paris, Robert Plant invité par les Tinariwen la reprend avec eux en live pour une version "arabisée", la batterie est remplaçée par les percus...cette version se veut plus sensible mais n'en perds pas son charme. Un concert qui finit en apothéose, les "whole lotta love" du refrain devienne les "amman iman" des tinariwen...ou les "Je veux tout l'amour du monde" (et pas n'importe lequel penchez-vous sur les paroles ;) ) en "l'eau c'est la vie".

Moi aussi j'aimerais bien avoir "tout l'amour du monde" :)

OOooohh Yyeeaaahh ! Way Down Inside...

Always Coca-Cola